

Sur le voyage :
On va faire une partie en train et une partie en bus. Il faut toujours essayer d’arranger le voyage pour qu’il n’ait pas une influence sur le match, parce que quand vous faites 12/13 heures de bus la veille, je ne vois pas comment vous pouvez être performant le jour du match. On essaie de réduire les temps avec deux transports différents.
Sur les conditions climatiques :
Y’a que depuis aujourd’hui qu’on a retrouvé des situations à peu près normales. Hier, je me suis rendu compte de l’impact du froid chez les joueurs, parce qu’on voyait des visages crispés. C’est sûr et certain qu’en ce moment, on ne s’entraîne pas dans des conditions idéales. Du coup, le corps et la tête font un effort, et ça peut inquiéter physiquement. Donc oui, les conditions en Lorraine sont dures, mais elles sont dures pour tout le monde, pas que pour les footballeurs. Il faut passer cette période-là du mieux possible.
Sur Concarneau :
Je suis revenu sur deux-trois détails pour régler certaines choses, mais depuis lundi, on parle que de Concarneau. On va commencer la phase retour, phase dans laquelle on a un repère parce qu’on a déjà joué nos adversaires. Donc, à partir de là, il va falloir s’imposer comme sur les matchs aller et essayer de suivre ce guide-là.
Ils prennent très peu de buts à la maison, ils ont des joueurs de qualité, le public est près du jeu, donc ça joue un rôle important, car les joueurs vivent le match différemment, tout comme l’arbitre. Mais la vérité, c’est que c’est une équipe qui a pris six buts dans la phase aller. Je pense qu’on les a surpris sur le match aller. C’était une équipe qui se mettait en place après une descente, donc ça sera un match très différent du premier.
Il faudra avoir l’humilité de se dire qu’on est supérieur à personne, parce qu’on n’aura pas beaucoup d’occasions dans ce match. Cette équipe ne nous permet pas d’avoir beaucoup d’occasions dans un match.
Sur Saint-Ruf :
Il va bien, il est prêt et sera du déplacement.
Sur Valenciennes :
Les joueurs ont été déçus, car ils avaient la sensation d’avoir fait le travail, mais pour rien. Un match nul ne m’intéresse pas, moi je veux des victoires. Je veux que mon équipe joue pour gagner. Si on ne gagne pas, ce n’est pas un problème, on recommence. C’est en se relevant à chaque fois qu’on arrivera à faire plus.
Sur le ressenti suite aux deux défaites cette semaine :
Il n’y a pas eu de changements particuliers, on a abordé la semaine comme les autres semaines, on sait qu’on ne peut pas gagner tous nos matchs, mais on se donne à 100 % pour les gagner. Mais, c’est vrai qu’après une défaite, on a à cœur de se remettre au travail pour préparer le match suivant.
On peut dire deux défaites, mais pour moi c’est une défaite, le premier match on l’avait déjà perdu, on l’a rejoué, on l’a perdu, mais dans tous les cas une ou deux défaites ça reste un échec et on va tout faire pour repartir de l’avant.
Contre Valenciennes :
On n’a pas été efficace, on sait que maintenant c’est ce genre de match qui nous attend, des matchs où on va avoir beaucoup le ballon, on va être dominateur. Après, ce sont les scénarios qui nous attendent et on se prépare pour ça.
Sur le fait d’être attendu :
Quand on joue les premiers, on veut tous gagner, donc les adversaires donnent tout et essaient de nous contrer pour ouvrir et maintenir le score.
On le sent, mais nous, on aime ça, ça veut dire qu’on est craint, qu’on est une bonne équipe et que tout le monde veut nous faire tomber. Donc c’est des défis chaque week-end, on sait qu’il faut tout donner et c’est par des matchs comme ça qu’on devra passer si on veut monter.
Sur le fait d’oser :
Le coach nous dit depuis le début de saison qu’on doit oser, tenter, et c’est ce qu’on fait même si ça ne marche pas tout le temps. Mais c’est le football, on ne va pas toujours tout réussir, mais du moment qu’il y a l’envie d’essayer et de faire quelque chose, c’est important.
Le coach nous laisse une certaine liberté d’expression sur le terrain, donc à nous de nous exprimer et de faire en sorte que le match se passe bien.
Sur ses occasions ratées face à Valenciennes :
Oui, je sais que j’avais les occasions pour marquer. Malheureusement, je n'ai pas été efficace, mais je sais que je crée beaucoup d’occasions dans chaque match et que c’est une qualité. Donc je dois travailler parce qu’il ne me manque pas grand-chose pour mettre ces buts.
Je dois être plus lucide, je travaille pour, mais je ne m'inquiète pas, je sais que ça va rentrer.
Sur les conditions climatiques :
On gère différemment, surtout cette semaine sur le synthétique où on n’a pas les mêmes appuis ni les mêmes repères. Donc, on doit faire attention pour ne pas se blesser. Mais on est habitué, c’est la Lorraine. L’année dernière aussi il faisait froid, donc ce n'est pas nouveau. On s’adapte et on fait comme tout le monde.
Sur les retrouvailles avec Josselin Gromat :
On va se retrouver, on n’a pas eu le temps de se dire au revoir correctement parce qu’il était déjà parti quand on est revenu. Et c’est un joueur que j’apprécie beaucoup, que ce soit sur le terrain ou hors du terrain. On s’entendait bien, donc le revoir avec un maillot différent, ça va me faire bizarre, surtout aussi vite.