

Bixente Lizarazu
« Quand j’étais au centre de formation, je le regardais avec admiration. Cela reste encore un modèle pour moi aujourd’hui. J’aime autant le joueur que l’homme, qui vit ses passions à fond comme le surf ou le freeride. J’apprécie aussi ses commentaires, car il sait rester à sa place. »
L’AS Monaco
« C’est là où j’ai grandi. J’y ai passé dix ans donc forcément ça marque. Pendant mes années monégasques, c’était un club chaleureux avec de vraies valeurs humaines. »
L’AS Camaret
« Mon premier club. Quand je retourne dans ma famille, je passe toujours les voir. Je donne aussi parfois un coup de main aux éducateurs. »
L’Espagne
« Pendant la période où ils gagnaient tout, c’était une belle équipe à voir jouer. Ce qui me faisait vibrer, c’était leur perfection en termes de qualité technique. »
La finale France-Brésil en 1998
« J’avais 11 ans et l’ai regardé en famille. »
La coupe de France
« J’adore voir des duels avec des équipes qui sont séparées par plusieurs divisions d’écart. Sur un match, tout devient possible. Cela permet de mettre en avant le football amateur. »
La récupération
« Vu les efforts physiques qu’il faut produire pour un match, c’est important de se reposer (rires) ! Ma séance de récupération idéale, c’est ostéopathe, massages et étirements. »
La virgule
« Il faut vraiment maitrise pour la réussir à bon escient en match. Ce n’est pas pour moi ce geste, mais pour les joueurs techniques et vifs (sourire). Salibur m’en a fait une à Clermont, mais j’ai bien anticipé pour pousser le ballon en corner. »