

Quel casse-tête pour les dirigeants nancéiens en ce début de saison : comment construire une équipe sans Michel Platini, maître à jouer de l’ASNL depuis 4 saisons, parti redonner des couleurs à des Verts bien pâles depuis trois saisons. Le résultat ne fut guère probant et l’ASNL terminera dans le ventre mou du classement en ne brillant que par intermittence. Cette saison fut également la dernière pour Antoine Redin comme entraîneur du club au chardon, lui, l’ultime survivant des pionniers de la saison 1967/1968.
15 victoires, 7 nuls et 16 défaites en 38 matchs
9ème attaque avec 55 buts marqués
15ème défense avec 61 buts encaissés
Affluence moyenne: 7 913 spectateurs
Angers (1-0/ 0-1), Bastia (3-1/ 2-2), Bordeaux (3-1/ 1-4), Brest (5-1/ 3-3), Laval (2-1/ 1-0), Lens (1-1/ 0-4), Lille (1-0/ 0-2), Lyon (1-0/ 1-2), Marseille (5-0/ 2-2), Metz (0-1/ 1-2), Monaco (2-1/ 0-3), Nantes (0-2/ 0-2), Nice (1-2/ 1-1), Nîmes (1-0/ 2-4), Paris SG (3-2/ 2-1), St-Etienne (1-1/ 2-2), Sochaux (1-2/ 1-5), Strasbourg (3-4/ 0-1), Valenciennes (1-0/ 1-0).
Slobodan Antic (Radnicki), Alain Bernard (Angoulème), Patrick Bernhardt (Lucé), Christophe Garcia (Epinal), Dominique Lokoli (Paris SG)
Eddy Caullery (Saint-Etienne), Bernus Goram (Saint-Dié), Rachid Maatar (Chaumont), Robert Pintenat (Toulouse), Michel Platini (Saint-Etienne), Jean-Pierre Raczynski (Lausanne), Heinz Stickel (Völklingen)
Antoine Redin
Antic (27), Barret E. (13), Bernard (25), Bernhard (5), Cloet (33), Collina (21), Curbelo C. (35), Delpierre (15), Garcia (1), Jeannol (28), Lokoli (33), Martin E. (7), Merchadier (3), Moutier (33), Neubert (37), Perdrieau (31), Piller (2), Rouyer (32), Rubio (37), Umpierrez (27), Zenier B. (16).
Antic (8), Bernard (2), Cloet (1), Curbelo C. (2), Jeannol (5), Neubert (3), Perdrieau (2), Rouyer (8), Rubio (11), Umpierrez (8), Zenier B. (5).
32èmes de finale : Besancon (0-1)