

Après plus de six mois sans pause, Grégoire Lefebvre va profiter de la courte trêve hivernale pour souffler un peu et voir sa famille.
Ça fait en effet vraiment du bien de retrouver toute la famille proche, mais aussi celle un peu plus éloignée comme par exemple les cousins. Pour certains, c’est l’un des seuls moments où je peux les voir durant l’année. Je suis originaire de Normandie, près de Rouen. J’arrive à y aller quatre ou cinq fois par an. Durant cette trêve, nous irons aussi dans la famille de ma femme près d’Auxerre. On va prendre un grand bol d’air.
Oui, surtout après cette première partie de saison compliquée. C’est important pour moi de pouvoir couper un peu avec le foot et de recharger les batteries. On en a aussi besoin physiquement après avoir repris l’entraînement au milieu du mois de juin. Ça fait plus de six mois sans aucune pause. Je vais quand même courir deux ou trois fois pour garder la forme et ne pas être trop à la traine lors de la reprise de l’entraînement.
Complètement ! Pendant les fêtes, on se fait plutôt plaisir. Ça fait aussi du bien dans la tête de pouvoir se lâcher au niveau de l’alimentation. Je craque facilement sur tous les toasts salés (sourire). Pendant le championnat, je fais plutôt attention et encore davantage à l’approche du match. Je ne suis de toute façon pas du genre à manger n’importe quoi. Ma femme est aussi soucieuse de sa ligne donc on fait attention ensemble.
Je pense qu’il va l’être trop (sourire). Lou Ann va avoir un an et demi. Elle marche et commence à parler. Elle va commencer à comprendre. L’année dernière, elle s’amusait surtout à jouer avec les emballages (sourire). Ce sont des moments qui font toujours plaisir.
Pour moi, les cadeaux, c’est secondaire. Je veux juste être avec ma famille. Que tous restent en bonne santé, c’est ça qui me rend le plus heureux.
Je me souviens de mes premiers maillots de foot. C’était ceux de Lyon, d’Arsenal et de Barcelone, mes équipes préférées quand j'étais gamin. Mon premier vélo aussi. Ce sont de bons souvenirs.