La chronique de C. Portelance

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Pro · 26/02/2017 à 10:51
26/02/2017 • 10:51

Christian Portelance, journaliste passionné de l'histoire de l'ASNL, donnera un avis sur les rencontres disputées à domicile par l'équipe de Pablo Correa. Propos libres uniquement destinés à accompagner l'analyse des supporteurs et observateurs de Marcel-Picot.

Christian PortelanceEquipe réclame buteurs

Le constat est toujours le même : l’ASNL joue sans buteurs. A Angers et à Caen, elle s’est trouvée distancée à la marque et n’est jamais revenue dans le match. Samedi soir, face à Toulouse, elle a pris un petit point qui se serait étoffé de quelques miettes si les avants de Pablo Correa avaient été plus efficaces.  

Faut-il palabrer sur le coup de patte de Loïc Puyo qui a tiré profit d’une faute de main du gardien toulousain sans emporter sa validation de la part de l’homme au sifflet ? A quoi bon ? Sans doute l’ASNL a-t-elle été privée d’un but valable.

Quand on met peu de buts, on n’a guère besoin d’être pénalisé par les aléas du jeu et les appréciations douteuses de l’arbitre.

Deux des envois des avants de Nancy-Lorraine ont touché le cadre. L’attaque est toujours aux abonnés absents. Une formation aux moyens modestes est rarement servie par la chance. Cela s’est vérifié samedi soir à Marcel-Picot où les rouge et blanc ont pourtant tenté, à l’image d’Alexis Busin, de mettre un coup de pied dans la fourmilière.

Pascal Dupraz a observé, durant les interviews d’après-match, que Nancy jouait le maintien. On s’en est aperçu également. Tant qu’elle ne convertira pas ses raids offensifs, l’équipe nancéienne demeurera fragile, voire inquiétante.

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